jeudi 12 mai 2011

LE PIÈGE TENDU À DSK

Perfidie à deux couches. Après l'assaut de mauvaise foi de Wauquiez, Jacob et d'autres qui lancèrent, en vrac : "DSK est coupé de la France, de ses racines", "il y a longtemps qu'il n'a pas sillonné nos campagnes, nos banlieues" (et pour cause il est à Washington et pas encore doué du don d'ubiquité), voici une pointe du premier ministre François Fillon qui, sur TF1, rappelle le cadeau empoisonné fait par l'UMP à l'actuel président du F.M.I. pour entraver sa capacité d'opposition : "On a besoin de lui, la situation est particulièrement difficile, comme vous le savez, dans plusieurs pays, notamment en Europe, en Grèce [...] je souhaite qu'il aille jusqu'au bout mais après c'est son choix, ce n'est pas le mien".

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