En particulier en marge de l'Université d'été marseillaise, dont le parti majoritaire s'empresse de vanter la présumée exemplarité qui contrasterait avec leur homologue au PS, "d'une violence démentielle" selon Jean-François Copé, le secrétaire général de l'UMP.
Bourdin : – « Vous avez des positions souvent marginales à droite. Les membres de la droite populaire vous détestent. Vous le savez ? Vous savez qu’ils vous détestent, n’est-ce pas ? »
Bachelot : – « En tout cas, François Fillon et Nicolas Sarkozy eux m’aiment ! » Grand moment de solitude.Dans le même temps, c’était au tour de Jean-Pierre Raffarin, l’ex-premier ministre insurgé contre la hausse de TVA sur les billets d’entrée des parcs à thème, de subir la vindicte de ses confrères droitiers. Lionnel Luca en tête (député droite populaire) qui l'a qualifié hier de "has-been !" L'audacieuse raffarinade aurait pu d'ailleurs être stérile si le président Nicolas Sarkozy, en Deus ex machina magnanime, n’avait pas finalement décidé de lui donner raison en renonçant à la taxe polémique.
Les Universités d'été des principaux partis politiques s'achèvent demain, avec celle de l'UMP. La scène politique se prépare à d'autres réjouissances. En attendant, il est un autre senior qui lui vient d'apprendre une demi-bonne nouvelle : Jacques Chirac, jugé inapte à témoigner dans son procès, devrait en effet passer au travers des mailles de la justice.
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